Dans avec ma Déesse

Ass

Quand elle est rentrée dans la pièce, la dernière invitée de ma sœur, j’ai retenu mon souffle. Quatre ans que je ne l’ais pas vue et à dix-neuf ans, quatre ans, c’est très long. Elle est encore plus belle, plus lumineuse que dans mon souvenir, que je chéris jour après jour. Je ne la quitte pas des yeux tandis qu’elle fait le tour des convives, nous sommes une dizaine, avant d’arrivée vers moi. Un grand sourire, peut-être un peu moqueur?

– Arthur, mais tu as bien grandi! Angélique m’avait dit que tu serais là, comment vas-tu?

Une rapide bise, je balbutie et déjà elle part dans une conversation avec d’autres invités. Voilà? C’est tout? Juste j’ai grandi! Je fuis ces dîners, mais cette fois ma sœur a su me convaincre avec la présence de Madeleine. Timide je n’échange guère, je ne quitte pas Madeleine des yeux, me remplissant de sa peau douce, de ses seins voluptueux, de ses cheveux blonds comme les foins, éclairés par deux yeux bleus qui ne croisent jamais les miens. Cela me vexe mais d’un autre côté cela me permet de la détailler, de la déshabiller, d’imaginer ses seins, sont-ils denses, mous, pendent-ils, comment sont ses mamelons, est-elle épilée, comment est le galbe de ses fesses? Je n’imagine que la perfection!

Elle est en conversation rapprochée, avec un vieux, peut-être quarante-cinq ans, beau parleur, elle minaude, joue avec ses cheveux, baisse la voix, je le jalouse, j’aimerais, comme cela, pouvoir la séduire! J’ai l’estomac qui se contracte, je n’existe pas à ses yeux. Qu’est-ce que je m’imaginais? A la demande de ma sœur elle m’avait donné quelques cours de danse pour ma première soirée, et puis c’était tout. J’avais imaginé qu’elle avait projeté bien d’autres idées, mais ce n’étaient que les miennes en miroir.

Elle part la première, accompagnée de son vieux qui semble empressé, oublie de me saluer, me laissant seul et désespéré. Je ne regrette pas d’être venu cependant. Je demande à ma sœur, sous un prétexte bidon, les coordonnées de Madeleine. Elle me sourit de façon espiègle :

– Tu vas te faire dévorer petit frère! Je ne compte plus les hommes qui ont pleuré sous ses fenêtres et qu’elle a brisés. D’autant qu’elle aime les plus âgés, c’est une mante religieuse, je t’aurais prévenu!

Je n’écoute rien, et je m’en moque, j’ai juste besoin de lui dire à quel point je suis…, je suis quoi d’ailleurs? Possédé! Je note précieusement le numéro, je vais attendre demain pour la textoter. Je ne fais pas attention au fou rire de ma sœur en me voyant partir, elle ne se fait aucune illusion.

Dans le lit je me caresse longuement, me laissant toujours au bord du plaisir, je pense à Madeleine, mes mains sur ses seins lourds, ma bouche dans son cou, mon sexe enfoncé en elle au plus profond, son sourire me remplissant. J’aime ces sensations où je deviens fou de désir, ou plus rien ne compte que mon éjacultation que pourtant je retarde voire que je repousse sans fin.

A trois heures du matin, je perds toute lucidité et j’écris à la déesse de mes rêves.

« Bonsoir Madeleine, j’ai été heureux de te croiser chez Angélique. Est-ce que cela te dit que nous allions prendre un verre ensemble bientôt? Arthur, le frère d’Angélique. »

Ouf, cela me libère, quoique, je suis plus fébrile encore. Je me suis mis dans la gueule du loup. Evidemment je n’aurais pas de réponse avant le matin. Ni de toute la journée. Je regarde mon téléphone toutes les cinq secondes, et rien, je ne vis plus, je n’arrive à rien faire, surtout pas réviser mes partiels. Je me couche le lendemain sans réponse, je tremble de fébrilité, je regrette d’avoir été aussi pressé, mais en même temps je ne pouvais résister.

Je suis réveillé au milieu de la nuit par la cloche qui signale un message, je me rue sur le téléphone.

« Tu devrais dormir à cette heure-là petit garçon! C’est trop mignon de me proposer un verre. Si tu es réveillé vient prendre un thé, je n’arrive pas à m’endormir, cela me détendra peut-être? »

Il est minuit et demi, je réponds dans la seconde, évidemment, j’ai son adresse, mon vélo, il me faut dix minutes pour arriver, je suis hyper fébrile, comment interpréter son message? M’inviter en pleine nuit? Je ne connais rien de tous les codes, ni, finalement, rien de Madeleine.

Son appartement est fortement éclairé, chaleureux, féminin. Elle est habillée en robe et pieds nus, me fais rentrer avec un grand sourire, une fois encore je le trouve un peu moqueur.

– Eh bien, quelle motivation! Je te sers un thé?

– Oui, merci!

– Comment vas-tu, je n’ai pas eu le temps de te voir l’autre soir, accaparée par ce Michel, il était très insistant, et attirant, je dois avouer.

– Oh! Tu as…

– Conclus avec lui? (Elle éclate de rire devant ma tête), mais oui, je ne suis pas une oie blanche, disons qu’il manie mieux la lanque que son sexe! (Elle a un fou rire). Tu sais les hommes, ils sont tous pareils, j’aime changer souvent. Très souvent. Le mariage et tout et tout, ce n’est pas pour une fille comme moi! Et toi?

– Moi?

– Tu as une copine?

trabzon escort Euh non…

– Non? Cela doit te manquer? Tu en as déjà eu une?

– Je… (Je baisse la tête), non jamais

– Oh un joli puceau. Et embrassé?

– Non plus. (Elle rit franchement)

– Et tu voulais me dire quoi en venant comme cela si vite? Si… précipitamment?

– Je… que je… J’aimerais sortir avec toi.

– Sortir avec moi! Mais tu n’es même pas un homme, tu es encore un petit garçon.

– Mais non (Je me sens humilié) j’ai dix-neuf ans.

– C’est un petit garçon pour moi.

– Oh mon Dieu, Madeleine, je ferai n’importe quoi pour toi, je ne pense qu’à toi.

– Depuis hier.

– Non depuis toujours!

– Rhohhh c’est flatteur, et quand tu penses à moi, cela veut dire quoi?

– Je… je te désire, je rêve de toi.

– Tu te masturbes?

– Euh… oui un peu.

– Beaucoup?

– Oui beaucoup.

– Plusieurs fois par jour.

– Oui souvent.

– Et toujours en pensant à moi?

– Oui

– Eh ben, et quand tu penses à moi c’est quoi?

– Euh c’est très gênant!

– Penses-tu, cela m’intrigue.

– J’ai différents scenarios, par exemple que tu m’apprends à danser et que je me débrouille mal, alors tu me punis.

– Oh, je te punis, cela te fait jouir.

– Je… oui

– Quoi d’autres?

– Que tu me prends avec un gode ceinture… (Je suis rouge de confusion, je n’ose la regarder)

– Oh mais tu es un petit garçon avec plein d’idées perverses, tu as raison tu dois être puni. Et tu rêves que je sorte avec toi avec ces images! (Elle rit), allez quoi d’autre.

– Je… Que je doive porter tes culottes et tes bas

– Oh, je vois, tu es un gros cochon. Angélique sait tout cela?

– Oh non! Bien entendu (Elle rit franchement, g arde le silence longuement en me regardant, son sourire est sans aucun doute moqueur)

– Et tu ferais quoi pour moi?

– Tout ce que tu voudras.

– Cela ne veut rien dire, c’est idiot. Par exemple est-e que tu accepterais de ne plus jouir pour moi, ne plus te toucher?

– Oh, je… je fais cela souvent, mais cela me rend encore plus fou de toi.

– De vous.

– Pardon?

– Tu es un petit garçon, j’aimais bien comme tu me vouvoyais quand nous nous sommes vus, c’était mignon, je pense que tu dois marquer une certaine déférence devant une ainée, femme en plus.

– Oh oui je comprends. Oui je ferais cela pour vous. (Je suis excité comme un dingue, elle se moque de moi, mais je sens que cela l’intéresse un peu, je ne sais pas trop où me mettre.)

– Bien maintenant laisse-moi, je sens le sommeil qui arrive, je ne veux pas le rater. Tu attends, j’ai une idée, mais je vais creuser un peu. Tu as intérêt à tenir tes engagements!

– Oh oui Madeleine sois-en, pardon, soyez-en certaine.

Je me retrouve dehors dans un état pire qu’en arrivant. Je ne comprends pas trop ce qu’il s’est passé, comment je me suis autant livré, c’est idiot, j’aurais du préparer, je suis arrivé la fleur au fusil, sans doute grillé à jamais. J’ai évidemment gardé nombre de mes fantasmes pour moi, déjà je me dis que c’était très osé.

Je dois patienter deux jours pour avoir de ses nouvelles, inutile de décrire mon état d’énervement. Enfin je reçois un message whatsapp.

– Tu t’es masturbé petit garçon?

– Euh Oui Madeleine, il ne fallait pas?

– Non! Bien sur que non, je veux que tu sois chaste pour moi.

– Oh oui, qu’est-ce que je dois faire?

– Tu vas sur le site Laceinturedechasteté, tu te commandes une cage sissy avec une ceinture de maintien, tu prends tes mesures, et tu retires un centimètre sur chacune des mesures. C’est compris?

– Oh oui! (Mon sexe explose de tension).

– Tu reviens devant moi avec la cage, donc le plus vite tu l’as, le plus vite tu reviens, moi j’ai tout mon temps. Et d’ici là je ne veux pas que tu te caresses, promis?

– Oui Promis.

– Oh et d’ici là va te faire épiler au laser, je déteste les poils, le sexe, les fesses, les aisselles.

– Bien Madeleine.

Quelle torture, mais quelle excitation. Je me précipite sur le site, je regarde le modèle, déjà il est petit, mais en plus je dois diminuer les tailles prises. Par défi j’enlève même un peu plus pour qu’elle soit satisfaite, n’ayant aucune idée en fait de ce que je fais. Le délai est délirant, six semaines, ce n’est tout simplement pas possible, je ne peux pas me retenir de jouir plus de deux ou trois jours sans devenir dingue. Je contacte le site, coup de chance une annulation, il accepte de me la passer en priorité, je crois que ma voix est tellement désespérée.

Je constate vite que j’ai été stupide de réduire encore les tailles : la pose de la cage est très difficile, mon sexe est complètement écrasé dedans, même après avoir été enfermé avec des glaçons pour le rétrécir au maximum, la peau pince facilement. Péniblement, en suivant les instructions j’arrive à la fermer, mais la tension dans tout le sexe est tunceli escort très forte, si elle est invisible entre mes jambes, elle est loin de se faire oublier. J’espère que Madeleine sera contente au moins. Le fait de ne pas jouir me rend bien plus accroc encore, si je n’ai pas le droit de jouir, je me suis fait plaisir autrement, en écrasant mes couilles ou en me remplissant le cul de godes les plus gros que j’ai, me forçant à les porter toute la nuit. Inutile de dire que mes partiels sont foutus! Je m’en moque grave!

Madeleine m’indique qu’elle est absente quelques jours, que je dois porter la cage d’ici mercredi et venir la voir à minuit. Je suis frustré, mais je la remercie. J’ai mal, je résiste à la tentation d’enlever la cage qui me pince la peau et comprime mon sexe, car trop serrée. Si je ne fais pas ce que veut Madeleine, à quoi bon?

C’est la première fois qu’une femme me demande quelque chose de sexuel, c’est si fort. Je dors peu, ma peau épilée depuis peu est sensible, j’adore la sensation. Je lui écris mes souffrances, mon désir, je lui fais des promesses insensées de faire tout ce qu’elle désire, de me mettre à son service, je ne sais plus quoi, la fièvre sexuelle m’emmène très loin, je la désire tant. Je me caresse au travers de la cage métallique, cela me soulage à peine, mais un peu quand même.

Je pédale comme un fou sur mon vélo, tant je suis excité et exalté, je suis fier d’avoir tenu toutes ces journées sans une éjaculation! Je ne sais si Madeleine s’en rend compte. Quand elle ouvre la porte, j’ai un chox, elle est avec un déshabillé noir en dentelle, qui ne cache pas grand-chose de ses seins lourds, assez tombants, aux auréoles étrangement sombres et petites. Elle n’a pas de culotte, je devine son sexe aussi épilé que le mien, c’est comme si je reecevais un coup de poing dans le ventre. Avec des chaussures à talon, elle est aussi grande que moi, je me mets à trembler de désir, elle me rend fou. Ne pas pouvoir me soulager de toutes ces images et ces fantasmes me rend littéralement dingue.

– Entre petit garçon tu as été sage?

– Oui, je ne me suis pas touché.

– C’est la moindre des choses que j’attends de toi, allez déshabille-toi.

– Vous… Vous êtes magnifique.

– (Elle rit) ah oui, première fois que tu vois une femme presque nue.

– Oui, mais surtout vous

– Allez ouste descends moi ce pantalon.

Je me retrouve nu, tandis qu’elle prend la cage dans ses mains pour vérifier comment elle est petite, et solida, tire sur la ceinture en silicone que je porte par-dessus. Elle semble très satisfaite.

– Tu as l’air bien serré là-dedans, ta grosse queue est devenue invisible, on ne voit que tes couilles pendre. Puisque tu aimes cela, je veux que tu jettes tous tes caleçons ou slip, tu ne prends plus que des shortys ou des slip en dentele noirs, qu’en penses-tu?

– Je… c’est très excitant

– Et bien plus joli pour un eunuque comme toi. Et je sais que cela te plaît. Tu repartiras avec ma culotte d’aujourd’hui, ce sera mon cadeau pour le début de notre relation.

– Oh… Merci infiniment (Elle a bien dit relation, je suis au firmament du bonheur)

– Tu es mignon, et pathétique d’ailleurs. Passe moi la clé du cadenas.

Il n’y en a qu’une, je le lui dis, je ne veux pas tricher. Elle rit, prend la clé et la jette à la poubelle! Je ne comprends pas. Elle prend un petit tube et fait couler de la colle dans la serrure qui se remplit et sèche très vite.

– Voilà, tu vois on n’a pas besoin de la clé, le cadenas ne peut plus s’ouvrir, il a l’air bien solide, je suis certaine que tu vas rester bien chaste pour moi.

– Oh Madeleine, vous… vous-voulez que je reste tout le temps ainsi? (J’ai un voile rouge devant les yeux, je suis hagard)

– Mais oui, c’est ce que je t’ai demandé et ce que tu m’as dit que tu étais prêt à faire et même beaucoup plus, ce n’est pas vrai?

– Oh oui c’est vrai, je vous aime tellement. Tout ce que vous voulez.

– Je veux que tu restes ainsi puceau toute ta vie, c’est très excitant, et tu vas être de plus en plus excité et en manque, cela sera bon, je veux que tu fasses ce que je te demande, tu veux bien? J’avoue que te voir à genoux me regarder, plein de désir et de dévotion, en sachant que ut ne pourras jamais aller plus loin, est très exitant. Et puis j’abuserai de toi, j’ai compris que cela te remplirait, que tu étais prêt à tout.

– Oui (Je ne réfléchis pas, je bloque mes pensées tant ce que je viens d’entendre dépasse ma compréhension)

– Tiens, mets-toi donc à genoux là devant le fauteuil, je vais me donner du plaisir grâce à toi! Ce sera ton cadeau.

Les yeux exorbités, je vois Madeleine écarter ses cuisses douces et légèrement charnue, sur son sexe, aux plis innombrables. Je n’ai jamais vu un sexe de femme, sauf en vidéo, et jamais avec cette intansité érotique. Je gémis de désir, surtout de frustration, tandis qu’elle fait courir ses doigts sur ses lèvres, fait sortir son clitoris, enfonce un doigt dans uşak escort son vagin, cela semble tellement un endroit délicieux. Elle me regarde intensément, me disant de bien regarder car je n’aurais jamais le droit de prendre un sexe de femme, que je n’en suis pas digne, juste un petit chien obéissant, qu’elle adore voir mes yeux plein d’adoration, qu’elle veut que je la vénère et que je la serve. Ses gémissements sont de plus en plus forts, je gémis de desir et de frustration, je lui promets tout ce qu’elle veut, je suis tendu comme un arc. A l’idée que je ne jouisse plus jamais, je vois son corps s’arquer, ses gémissements s’arrêter pou laisse la place à un cri rauque, elle jouit dans des tons stridents, moi-même je suis parcouru de spasmes, je tremble, mon sexe tente de pousser la cage en vain, l’idée de cette frustration si bien symbolisée par la résistance de la cage me fait hurler d’humiliation et de contrainte, de ravissement de lui appartenir, je rampe à ses pieds, je suis sa chienne.

C’est ineffable, je suis transporté, je me penche et instinctivement, je pose mes lèvres sur ses pieds, je l’embrasse passionnément, je lui voue une telle admiration, un tel désir. Je ne crois pas qu’un homme ait autant désiré une femme.

– Rentre chez toi, je te sifflerai quand j’aurais besoin de toi, je veux que tu sois tout le temps disponible pour moi, tu veux bien?

– Oh oui ma Déesse, autant qu’il vous plaira.

– Déesse? Oui tu as raison, ne m’appelle plus que comme cela.

– Oui Déesse.

– Je te veux totalement disponible et obéissant, allez va, et continue de penser à moi.

Les jours suivants ne furent qu’une montée en tension sexuelle, tension que j’étais incapable d’évacuer et donc incapable de m’éclaircir les idées. Une fois Madeleine me convoque pour la sécher à la sortie de son bain. La première fois que je la touche, je suis extatique, je sèche ses lourds seins, tout son dos si doux, ses fesses rebondies, je suis complètement excité mais ne peut rien faire de plus. Une autre fois je dois essuyer son pipi, toucher son sexe, certes, mais au travers d’une feuille de papier. C’est doux, c’est tendre, je suis fou d’elle. Un soir elle regarde tout un film tandis qu’allongé à ses pieds, je les lèche et les embrasse avec passion, heureux d’être à ma place, humilié quand je comprends qu’elle parle à ma sœur et explique ce que je suis en train de faire, la cage, cette humiliation m’excite. Je les entends rires, Madeleine soulignant à quel point je suis à elle et qu’elle peut tout me demander, et précisant que là je suis en train d’embrasser ses pieds.

Voulant pousser son narcissisme encore plus loin, sachant que je dois passer plusieurs heurees par jour à regarder ses photos qui tapissent tout mon appartement maintenant, j’adorerais d’ailleurs me masturber sur chacune d’elle maintes fois, Madeleine décide un soir que je vais passer la nuit à me remplir d’elle et la contempler dormir. Elle attache chacun de mes pieds au pied de son lit avec des collants, et les bras relevés avec une corde passé dans l’anneau du plafond censé retenir un luminaire.

– Je veux que tu te remplisses de moi, endormie, dans ma nuisette, interdit de t’assoupir, je te veux en totale dévotion.

La fatigue pourtant m’a vaincue, et lorsqu’elle m’a trouvé pendant par les bras, ma Déesse s’est énervée, m’a singlé les fesses de ma ceinture, longuement, marquant tout mon corps, moi honteux de ne pas avoir pu tenir ma promesse de faire toute ce qu’elle voudrait.

– Tu vas rester ainsi jusqu’à mon retour ce soir, ce sera ta punition. Je ne t’inspire pas assez pour te maintenir réveillé?

– Oh si Déesse! Vous êtes merveilleuse.

Curieusement la punition m’a soulagé de ma culpabilité, je sais qu’elle pourrait me virer du jour au lendemain sans aucune culpabilité ni hésitation. Au moins je n’avais rien à faire sinon penser à elle attaché dans sa chambre!

La fièvre sexuelle me fait perdre tous mes repères. Angélique vient me voir, me demander si tout va bien, si cela me convient? Quel bonheur de pouvoir côtoyer ma Reine, je lui décrit comme je suis rempli. Par curiosité elle me fait baisser mon pantalon, j’obéis sans réfléchir. Elle repart avec un regard que je décode comme méprisant, cela me comble bizarrement, je ne suis rien qu’à l’ombre de ma Déesse. Et je suis comme délivré d’une contrainte sociale, elle sait, sans doute les parents le sauront aussi.

Une étape est franchie quelques jours plus tard. Je reçois un message de Madeleine me demande de préparer un petit-déjeuner pour le lendemain sept heures. Elle est avec un amant, je dois préparer un petit-déjeuner de grand hôtel, l’attendre à genoux dans la cuisine pour le servir.

L’idée de la savoir avec un autre homme m’est insupportable, mais je suis tellement heureux de son ordre, je m’affaire pour prévoir tout ce qu’il faut, saumon, jus d’orange, fleurs, fromage frais et les viénoiseries à acheter le matin même. J’ai un double des clés, j’arrive tôt, j’installe tout, je l’attends.

Ce n’est qu’à sept heure trente que je vois ma Déesse suivie d’un homme costaud derrière elle, tous les deux intégralement nus.

– C’est qui lui?

– Ma petite chienne, comment tu trouves? (Madeleine est joyeuse et enjouée, moi honteux, la tête baissée à genoux)

– Très mignon et appétissant.

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